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Monographie de Notre Dame des Millières et divers Savoie

J.Garibaldi au service de la France républicaine

Publié par Abbatucci charles in Histoire

       J.Garibaldi au service de la France républicaine

Joseph Garibaldi

Un niçois au service de la France républicaine

http:// millierains.canalblog.com

Personnage exceptionnel controversé de l’histoire, anticlérical, mais pas antireligieux, opposé aux empereurs et aux rois mais soutient Charles Emmanuel, dans son projet de créer l’unité italienne, n’aime pas napoléon III et Cavour celui qui a vendu Nice et la Savoie à l’empereur des français, franc maçon, chrétien croyant, républicain acharné, homme de guerre et de paix ( la paix passe parfois par la guerre),Un européen qui espère l’alliance de la France avec la Grande Bretagne pour créer les bases d’une confédération européenne.

Un aventurier qui attaque les corsaires du pacha près des côtes de Tripoli, passionné par la liberté, Un mondialiste surnommé le héros des deux mondes avec ses combats en Amérique du sud en Uruguay au Brésil et en Argentine, ni penseur, ni théoricien préfère l’action à la parole, n’est jamais l’auteur d’une action mais l’acteur de celle-ci.

Ses références Lamartine, Mazzini, Auguste Blanqui un compatriote né à Puget-Théniers.

Ses soutiens : Arago, Dumas Alexandre, Victor Hugo, Ordinaire (député), Jules Michelet (le seul héros en Europe), voir même Mac Mahon ‘Garibaldi un admirable partisan’, Bakounine, De Gaulle souligne les qualités de Garibaldi

« Lorsque, républicains français, italiens, espagnols, nous aurons vaincu l’ennemi commun (Empire) nous aurons jeté les fondements de cette grande fédération humaine à laquelle viendront s’associer nos frères les démocrates allemands, et qui formera bientôt les Etats unis d’Europe.

Vive Garibaldi, vive l’Italie, vive la République universelle ! » Signé Rouvier

Un niçois nouvellement français qui s’associera aux savoyards i pour défendre la nouvelle patrie contre l’envahisseur prussien.

Pour ses ennemis ou détracteurs « Expulser les prussiens de France n’était pas le vrai mobile qui décida Garibaldi a se mêler de nos affaires, mais bien le désir d’engaribaldiner la France, cette France cafarde, jésuitière, éternel appui de cet éternel cancer qui rongea le cœur de l’Italie,… la papauté » Middleton

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Sa vie

4 juillet 1807 : Naissance au port à Nice.

1822 : Voyage à Odessa

1825 : Voyage à Rome
Décembre 1833 : Garibaldi rencontre Mazzini.

1834 : Garibaldi est condamné à mort pour avoir participé à l'insurrection mazzinienne ; il doit fuir.

1835 : Départ pour Rio de Janeiro.

1837 : Il entre au service de la République et prend part à l’insurrection du Rio Grande (région du sud du Brésil qui s'est déclarée indépendante du gouvernement brésilien en 1835).

1839 : Rencontre avec Anita, sa première femme.
1843 : Siège de Montevideo. La Légion italienne prend l'uniforme rouge (chemises qui étaient destinées au boucher des abattoirs argentins).

25 avril 1848 : Garibaldi repart pour l'Italie.

1849 : Réunion de l'Assemblée Nationale à Rome, Garibaldi y participe. Août 1849 : mort de sa femme Anita.
Septembre : Deuxième exil. 1850-1854 : Garibaldi voyage (Amérique Centrale, Chine, Australie).

1855 : Il achète une partie de l'île de Caprera (Sardaigne).

1856 : voyage à Londres. 1857 , Il s'installe à Caprera.

1858 : Garibaldi rencontre Cavour. Il adhère à la Société Nationale.

1859 : Garibaldi est à la tête des Chasseurs Alpins.
6 mai 1860 : Expédition des Mille. 15 mai Garibaldi à la tête d’un corps de volontaires bat à Calatafini (Sicile) les troupes napolitaines du roi François II 27 mai : Le corps expéditionnaire de Garibaldi entre à Palerme. 17 18 juillet Victoire de Milazzo remportée par Garibaldi sur les troupes napolitaines 7 septembre : Les garibaldiens entrent à Naples. 26 octobre : Rencontre avec Victor Emmanuel II Novembre : Départ pour Caprera.
1862 : Garibaldi quitte son île pour la Sicile et se heurte à l'armée royale ; il est blessé à Aspromonte.

1866 : Il se bat dans le Trentin. 20 juillet : Succès à Bezzecca. Au cours de laquelle il sera blessé à la jambe il a perdu 1800 hommes
Août : Garibaldi "obéit". Il doit quitter le Trentin qui redevient autrichien.

1867 : Il tente de s'emparer de Rome.
3 novembre : Bataille de Mentana contre les Français qui protègent Rome.

1870 : Garibaldi participe à la guerre aux côtés de la France contre la Prusse. Durant la campagne il avait une voiture une victoria quand il partait en reconnaissance le général était toujours bien armé a la ceinture un pistolet et un poignard ainsi qu’une carabine

1871 : Garibaldi est élu à l'Assemblée Nationale française (élu à Nice, Paris, Alger). Bordeaux le 13 février« Aux départements qui m’ont fait l’honneur de m’élire député à l’assemblée nationale : J’ai accepté le mandat de député pour venir apporter mon vote à la république. Avec ce dernier devoir, ma mission est accomplie et je remets dans vos mains les pouvoirs que vous m’aviez délégués. Je suis avec reconnaissance, votre dévoué, » signé Garibaldi
2 juin 1882 : Garibaldi meurt à Caprera. Il est fait Chevalier de la légion d’honneur

Arrivée de Garibaldi en France

(Rumeurs, inquiétudes, Incertitudes)

En 1867, Suite à des tentatives sans succès d’attaquer l’état romain Garibaldi est arrêté et assigné à résidence sur son île de Caprera (acquise en 1855), dont il s'évade le 14 octobre 1867. Le 26 octobre il pénètre dans les états pontificaux pour reprendre son combat contre les troupes françaises et pontificales. Subissant de nouvelles défaites il se retire le 30
Il organise une nouvelle expédition sur Rome (la troisième), qui part cette fois de Terni, à la frontière avec les États pontificaux: il prend la place forte de Monte Rotondo mais il ne réussit pas à provoquer la révolution dans Rome

Le 3 novembre 1867.il est battu de manière décisive par les troupes du pape et les renforts envoyés par Napoléon III lors de la bataille de Mentana

Suite à la reddition de Sedan et la capitulation de l’empire français il accepte de venir aider la nouvelle république française contre la Prusse. Il ne voulait pas servir l’empire mais la république ; En faite lui qui a militer pour la réunification italienne n’accepte pas que Nice fut donner à la France en échange de son aide face à l’Autriche. Il gardera contre Cavour une animosité aussi grande que celle qu’il portait sur Napoléon III

22 avril 1870 De Caprera Garibaldi se dit prêt à se mettre au service de la république Il n’avait plus d’autre choix s’il voulait encore être sur le devant de la scène internationale

6 septembre au 10 septembre La rumeur de l’arrivée de Garibaldi à Nice s’amplifie chaque jour

14 septembre Garibaldi écrit au gouvernement français mais ne reçoit pas de réponse

Venant de Caprera ou il était emprisonné il sera finalement libéré par le gouvernement italien

19 septembre Les volontaires italiens franchissent la frontière ils sont dirigés sur Chambéry via Marseille

24 septembre Garibaldi quitte Caprera.

« Intention de venir par ici. Bandes nombreuses attendent à Gênes et ailleurs Vive la république française Instructions, pouvoir et crédit. Réponses immédiate »

Préfet des Alpes Maritimes a ministre de l’intérieur. Quelques niçois auraient voulu profiter de l’arrivée de Garibaldi pour déclarer Nice italienne, cela n’a pas était suivi par la population

5 octobre Garibaldi quitte Bonifacio

Il prend le yacht ‘ville de Paris’ pour rejoindre Bonifacio ou l’attends le général Bordone son futur chef d’état-major et arrive a Marseille

« Garibaldi débarqué à Marseille le 7 octobre à 7h 10 du soir a été reçu par les autorités, foule immense, enthousiasme indescriptible. A la nouvelle de son débarquement le ministre de la justice télégraphie au préfet de Valence « Recevez M Garibaldi comme je le recevrais moi-même. Si vous pouvez le retenir à Valence vous ferez un acte de la plus grande utilité pour le gouvernement » « Je fais partir Auguste Bartholdi… Je lui donnerai aussi une lettre pour Garibaldi qu’il faut absolument retenir à Valence

8 octobre départ pour Tours avec halte à Avignon « Il est arrivé à Tours à 7heures du matin, …… » Signé César Bertholon

Sous l’impulsion de Gambetta un niçois Garibaldi du comité de défense nationale est invité a rejoindre les troupes françaises

Crémieux déclara « il ne manquait plus que cela ! »

Le plus dur maintenant était pour le gouvernement de trouver des troupes qui accepteraient de servir sous les ordres de Garibaldi car pour certains cette armée représente l’anarchie la Révolution, l’anticléricalisme.

D’ailleurs plusieurs groupes francs refuseront de servir sous les ordres de Garibaldi comme le bataillon du Jura, La légion bretonne commandée par Daumalain, les francs-tireurs bretons dont on connait les convictions religieuses, la ‘Délivrance de Marseille’, le corps francs d’Alsace commandé par Keller. Les généraux comme Cambriels refuseront d’avoir sous leur ordre le général Garibaldi

Ne parlons pas de l’armée régulière hommes de troupes ou officiers. Garibaldi bien que soutenue par Gambetta lui aussi d’origine Italienne et ministre de l’intérieur a cette époque. Il sera vite abandonné par celui-ci

Le gouvernement se trouvait dans l’impossibilité de trouver et former à Garibaldi une troupe digne de son rang. Comme on ne pouvait le renvoyer on lui proposa une troupe hétéroclite qui devait agir sur les flancs de l’ennemi ayant pour missions de faire un maximum de dégâts sur les moyens de communications prussiens

Dans le monde politique et chez les intellectuels on reproche a Garibaldi le fait d’être italien, un aventurier, un Don Quichotte, voir un général d’opérette …. Même chez les républicains

16 octobre 1870 Paris

Armée des Vosges

Le comité central organisateur

Citoyens

« Le héros populaire des guerres d’Italie et d’Amérique, celui dont l’épée est acquise à la défense de toutes nobles causes, Garibaldi, apporte à la république française son concours d’une longue expérience et le prestige d’un nom glorieux.

Garibaldi prend le commandement de l’armée des Vosges, c'est-à-dire d’une armée à former dans ce pays envahi

Sous ses ordres, vont se rassembler les corps épars des volontaires et francs-tireurs, qui seront, avec quelques bataillons de mobiles, le noyau de la nouvelle armée.

A sa voix, italiens, espagnols, suisses, américains, polonais, tous volontaires, des républicains du monde entier franchiront les frontières pour combattre sous les plis du drapeau français !

Nous sommes en mesure de pourvoir à toutes les nécessités qu’entraîne la formation d’une armée.

Nous faisons appel à toutes les nations. Nous comptons sur tous les dévouements.

Puisse la victoire unir à jamais au nom de la France celui de Garibaldi

Vive la république »

Le dimanche 4 septembre

Proclamation aux habitants de Paris
Citoyens de Paris
La République est proclamée. Un gouvernement a été nommé il se compose des citoyens Emmanuel Arago, Cremieux, Jules Favre, Jules Ferry, Gambetta, Garnier Pagés, Glais-Bizoin, Pelletan, Garnier- Pagés, Picard, Rochefort représentants de Paris. Le général Trochu est chargé des pleins pouvoirs militaires pour la défense nationale. Il est appelé à la présidence du gouvernement. Le gouvernement invite les citoyens au calme; le peuple n'oubliera pas qu'il est en face de l'ennemi. Le gouvernement est avant tout un gouvernement de défense nationale.

Le nouveau gouvernement républicain succède donc à l’empire, la IIIe république est proclamée elle apporte un souffle nouveau dans l’approche de la guerre il n’était plus question pour cause de défaite successives de gagner la guerre. Mais de harceler l’ennemi par tous les moyens ses approvisionnements, ses communications, ses postes avancés attendre avec patience l’essoufflement de l’économie allemande et l’exaspération de la population afin d’espérer un armistice et une paix honorable comme après la bataille de Sadowa avec les autrichiens

En ce qui concerne la réalité du terrain la situation militaire et l’organisation de la défense nationale sont les préoccupations du moment. L’armée du Rhin enfermée dans Metz, l’armée de Chalons prisonnière, il est aisé de conclure qu’il ne doit plus rester à la France, pour continuer la lutte, que de maigres ressources. L’idée de cette pénurie de moyen est bien faite pour provoquer une inquiétude chez tous ceux qui ne veulent pas désespérer du salut final du pays, mais qui se rendent compte combien la continuation de la lutte pourrai être pénibles et combien l’organisation de la résistance rencontrera de nombreuses et sérieuses difficultés

On fait appel à l’Europe atouts les étranger et ce sera J Garibaldi qui proposera ses services a la nouvelle république mais plus tard il dira « Le gouvernement de défense nationale…. m’accueillit mais avec froideur, avec l’intention manifeste telle que je l’avais connue certaines fois en Italie de se servir de mon pauvre nom et rien de plus » G Garibaldi ‘Garibaldi dans mémoire d’une chemise rouge’ repris par le ( hors-série Sourgentin) Effectivement certains comme Crémieux membre du gouvernement n’était pas favorables a son arrivée le clergé n’est pas favorable a son entreprise on n’oublie pas qu’il a lutté contre les troupes du pape. Les généraux savent qu’il a combattu les armées françaises en Italie et donc on ne lui fait pas confiance En France on lutte pour la défense de la nation mais non pour une cause politique par contre le cas Garibaldi suscite des réactions exacerbées

‘Oui à la république bourgeoise non à la république des gueux’.

1870

Le 24 juin 1859 lors de la bataille de Solferino qui opposa les autrichiens à la coalition franco italienne, le roi Victor Emmanuel disposant de la brigade de Savoie commandé par le général Mollard lui donne l’ordre d’attaquer l’ennemi ce fut l’une des charges les plus brillantes de la bataille de Solferino, la brigade déploya un tel courage, une intrépidité à toute épreuve qui lui mérita l’admiration de toute l’armée en culbutant les autrichiens à San Martino.

La Savoie après 1860 a subit d’énormes transformations surtout du point de vue économique et par un retour du religieux

Durant la guerre de 1870 on pourrait citer les faits d'armes nombreux que nos compatriotes savoyards exécutèrent lors des grandes batailles : Reichshoffen, les zouaves à Patay et les mobiles à Beaune -la -Rolande et à Béthoncourt (Doubs) le 16 janvier 1871 le 1er bataillon de mobiles de Savoie a perdu son chef A. Costa de Beauregard, il est fait prisonnier ; il faisait partie de la 1ère brigade de la 1ère division du 15ème corps d'armée de la Loire.

En ce qui concerne les troupes garibaldiennes elles ont obtenues quelques beaux succès à Chatillon Sur Seine, à Pouilly à Bargy et à Autun ou se sont illustrés les niçois du Bataillon de mobiles des Alpes Maritimes et les savoyards de la 4e brigade de Ricciotti Garibaldi « Le général Garibaldi adresse des félicitations pour leur belle conduite dans la journée d’hier à l’armée et plus spécialement à l’artillerie de campagne et de montagne, au bataillon de Basses pyrénéens, a ceux des Alpes Maritimes commandée par le chef de bataillon Bruneau et par le capitaine Guide ( nommé chef de bataillon a cette date), a la garde nationale mobilisée, aux francs tireurs de la 4ème brigade , a la compagnie génoise commandée par le capitaine Razetto, et au capitaine Verdez de la brigade télégraphique, qui a conduit lui-même pendant assez longtemps une partie de la colonne qui opérait contre la gauche de l’ennemi .

De la guerre de 1870 beaucoup d’entre nous en ont perdu le souvenir. Peu connue, pour ne pas dire inconnue. Peut-être parce qu’elle est synonyme de défaite. Celle-ci a été supplantée par les deux guerres mondiales plus récentes et beaucoup plus meurtrières.
Cette guerre que l'on appelle communément "guerre franco prussienne" est un conflit qui opposa la France et les états d'Allemagne sous la domination de la Prusse. L’Allemagne de 1860 à 1866 est en pleine reconstruction de ses frontières, en pleine réunification de ses états on rêvait d’un empire, il commençait à se réaliser suite à des conflits avec les danois puis avec un traité avec les Hongrois

Depuis des décennies la Prusse laissant la gloire militaire à la France perfectionnait son outil militaire pour parfaire l’unité politique et géographique du futur empire. Après avoir attaqué et battu les autrichiens à Sadowa Bismarck commença a affaiblir les alliances de la France en déclarant que la France était prête à envahir la Belgique puis le Luxembourg. L’Angleterre et la Belgique de faite se méfièrent de la France et des deux belligérants. Il ne restait plus à la Prusse qu’à forcer la France à déclarer la guerre Bismarck « Il est essentiel que nous soyons les attaqués la présomption et la susceptibilité gauloise nous donnent ce rôle»

Les nombreuses provocations prussiennes,

- Economique tournée vers la fabrication militaire avec l’usine d’Alfred Krupp et ses fameux canons en acier se chargeant par la culasse

- En politique extérieure comme l’installation programmée d’un membre de la famille de Hohenzollern sur le trône d’Espagne.

- La dépêche d’Ems : Bismarck connaissant l’état d’esprit des dirigeants politiques et militaires français (orgueilleux, fiers, arrogants) refusa d’introduire dans le texte ‘’l’acceptation par le roi de Prusse de s’engager pour toujours à ne jamais plus donner son consentement a un membre de sa famille de prétendre au trône d’Espagne’’ en prétextant le fait que le roi avait refusé de revoir l’ambassadeur français. Conclusion faisant suite à des déclarations de presse très va-t’en guerre Emile Ollivier (chef du gouvernement) à la tribune de l’assemblée nationale décréta la guerre sans préparation. Napoléon III n’avait plus qu’a entériné le choix de l’assemblée ce qui amènera quelques mois plus tard le désastre que nous connaissons

Ce fut une guerre courte (à peine six mois) qui se déroula de la mi-juillet 1870. Jusqu’à la fin janvier 1871. Le théâtre des opérations se situa uniquement en territoire français.

Cette guerre peut être divisée en deux périodes : la Guerre Impériale et la Guerre Républicaine (ou de la Défense Nationale). La période impériale d'une durée d'un mois et demie environ vit l'invasion et la perte de l'Alsace, l'invasion de la Lorraine.

Plusieurs batailles importantes Woerth, le siège de la ville de Metz. Cette période pris fin avec la désastreuse reddition de Sedan qui amena la chute de l'empire et la proclamation de la république.
Ensuite ce fut la période républicaine d'une durée de cinq mois environ durant laquelle fut improvisée d’étranges corps d’armée composées de ‘garde mobile, francs-tireurs, compagnies franches, guérillas etc.… avec des noms parfois rocambolesque.

L'armée de Paris eu à subir le siège de la ville ainsi que son bombardement. Les armées de province essayèrent de dégager la capitale et de couper les lignes d'approvisionnement de l'armée allemande sans résultat. La guerre prit fin avec la capitulation de Paris.

Auteur Abbatucci Charles René Fait à Notre Dame Des Millières le 13/03/2016