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Monographie de Notre Dame des Millières et divers Savoie

Crues torrentielles à Notre Dame des Millières

Publié le 2 Mai 2015 par Abbatucci in Histoire

2015 La départementale
2015 La départementale

http://millierains.canalblog.com

(Fichier PDF)

Les crues torrentielles et entretiens des ruisseaux

A

Notre Dame des Millières

Présentation

A toutes les époques des pluies torrentielles provoquèrent le grossissement des rivières et leurs débordements inévitables. Les pentes du Grand Arc sont constitués sur la partie de Notre Dame des Millières par trois grands talwegs qui forment le départ de la plupart des crues On peut citer les années terribles de 1543 et 1817.

En se promenant à travers bois et en longeant les rivières le promeneur peut apercevoir d’étranges monticules en général arrondis et de petite surface ce sont des rochers de petites tailles et divers cailloux qui sont descendus des cimes lors des inondations.

Les riverains afin d’éviter les bouchons et la formation d’un barrage les retirèrent et les amoncelèrent

La montagne est un gruyère qui renferme des réserves d’eaux considérables. Le printemps la fonte des neiges et une averse importante peuvent produire une crue torrentielle ’un ruisseau anodin devenant un véritable torrent

Rivière Hermettaz

  • 1766 le 21 mai On érige une chapelle dédié à Saint Antoine de Padoue et Saint Joseph dans le but de préserver le vieux village des débordements continuelles de cette rivière

  • 1880 Construction d’un aqueduc

  • 1922 Construction d’un pont sur la rivière

  • 1930 – Débordement de la rivière l’Hermettaz d’énormes quantités de pierres de taille impressionnantes et de détritus divers ont déferlés sur le village. Près de 60.000 francs de dégâts en particulier talus et chaussée. (ADS DDS M72

  • 1931 « que toutes mesures nécessaires soient prises, au besoin par le déplacement de la R. D. n° 9, en vue d'assurer la protection du chef-lieu de Notre-Dame-des-Millières contre les crues du torrent de l'Hermettaz » (Rapport du conseil général de Savoie)

  • 1936 Syndicat de l'Hermetaz et des Culets. — Notre-Dame-des-Millières. — Travaux de Protection. — 1" Commission. — Rapport de M. Périllat :
    « Une contribution est demandée au département en vue de l'exécution des travaux de curage et d'aménagement du lit du torrent de l'Hermettaz. La participation qui est réclamée est
    basée d'ailleurs uniquement sur l'intention du Conseil Général d'aider les projets de défense contre les eaux.

    «Votre Commission ne méconnaît pas l'intérêt de cette demande. Mais, la dotation du programme d'organisation du département n'est pas au point et, d'autre part, un crédit a été
    voté par le Parlement en faveur des collectivités publiques victimes de calamités comme les crues causées par le torrent de l'Hermettaz. Il semble donc qu'avant de statuer sur cette demande, il serait intéressant d'être fixé sur les sommes qui pourront être allouées au Syndicat à l'occasion de la répartition du fonds des calamités publiques. Un secours de 10000 francs se
    ra accordé (Rapport du conseil général de Savoie

  • Chambéry, le 11 mars 1932.
    « A la suite des crues de l'été 1930 du torrent de l'Hermettaz, le Syndicat de défense contre ce torrent a demandé, par délibération du 25 avril 1931, l'intervention de l'Administration for
    estière.
    « Après reconnaissance des lieux, le principe de la constitution d'une « série domaniale de reboisement » fut adopté, avec, pour condition, la cession amiable des terrains périmètres suivant un prix de base relativement faible, étant donné la nature et la situation de ces terrains. La série devait s'étendre sur les communes de Notre-Dame-des-Millières et de Monthion, sur les deux rives du torrent ».

« Transmis à M. le Préfet avec proposition de faire connaître au Conseil général, au Syndicat de défense contre le torrent de l'Hermettaz et aux Municipalités de Notre-Dame-des-Millières
et de Monthion, que toutes les collectivités intéressées aux travaux de correction de torrent étant d'accord sur la nécessité de recourir à la déclaration publique des travaux pour assurer leur exécution malgré la résistance de certains propriétaires particuliers, le Service forestier va présenter à l'approbation de son Administration centrale un projet de périmètre complémentaire qui sera ensuite soumis aux enquêtes prévues par la loi du 4 avril 1882 sur la restauration et la conservation des montagnes en vue d'aboutir à une loi déclarative d'utili
té publique. » Chambéry, le 12 mars 1932. Le Conservateur des Eaux et Forêts, REY.( Rapport et délibérations du conseil général de Savoie)

  • 1969 le 14 mars Le conseil municipal Autorise le maire a signer un marché de gré a gré (contrat) se montant à 15450 francs avec l’entreprise LAURENT en vue du curage du ruisseau de l’Hermettaz.

Le 20 juin Le conseil municipal charge le service de la DDA de la surveillance des travaux concernant le curage du ruisseau de l’Hermettaz.

  • 1995 – «Afin de prévenir une montée subite des eaux du torrent l’Hermettaz le RTM (Restauration des Terrains en Montagne) entreprit la construction d’un barrage au débouché du Nant ». (DICRIM)

Un projet de construction d’un barrage avait été proposé par le député MUDRY dans les années 50 mais n’avait pas été retenu par la préfecture. D’autres débordements de la rivière novembre1944, avril1968, 4 juillet1971 et 1981.

« Le ruisseau de l’Hermetaz appartient quant a lui à une série domaniale du service RTM de la Savoie depuis les années 1935-37 .Depuis cette période, le lit est donc régulièrement surveillé par les techniciens du service, 5 barrages seuils ont été construits à la sortie des gorges dans les années 50 et une plage de dépôt, d’une largeur de 15 mètres et d’une hauteur de 5 mètres, complète l’ensemble de ce dispositif de protection depuis 1995 ». ( DICRIM)

2008 La préfecture de Savoie autorise les travaux d’entretien du torrent l’Hermettaz à l’ONF cette autorisation et valable 10 ans signé le 12 juin pour le préfet et par délégation le directeur départemental de l’agriculture et de la forêt M.Bernard VIU.

2015 le 05/05 L'eau s'écoule sur la départementale On cure le lit de la rivière

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Rivière de la Combaz

  • 1809 Lettre de MM.Nicolas JACOB, Joseph BAUDIN, Claude et Joseph METRAUX, Hélène CAHIER D’HERY, Jean Pierre MOLLIEX, Antoine BRUNIER COULIN tous cultivateurs domiciliés de la commune de Notre Dame des Millières a M le préfet «Dans notre commune coule un ruisseau dit de la Combaz dont les eaux se jette dans l’Isère en traversant les fours des communaux , dont le lit est tracé sur la mappe et forme des sinuosités à travers les broussailles , qui en ralentissant ...empêchant les corrosions …la rend moins dangereuses lors des inondations…François JACOB qui possèdent un pré des communaux a imaginé de changer le lit du ruisseau … Cette mesure est nuisible…donne à l’eau plus de force … les propriétaires qui utilisaient l’eau en sont privées… »

1955 – Le ruisseau de la Combaz déborde à la suite de pluies torrentielles, charriant une énorme quantité de boue et des débris divers. Plusieurs maisons sont évacuées par les secours (gendarmerie et sapeurs-pompiers). En particulier au hameau du Mathiez. Ce fait divers a fait la ‘’une’’ de la presse régionale. « Nous n’avions encore pas parlé jusqu'à ce jour de la rive gauche de l’Isère dans la Haute Combe de Savoie. Or, Notre Dame des Millières vient de s’illustrer. Dans ce village passe un torrent nommé ‘’La Combaz ‘’ qui prend sa source au col de Chant Rêvant. Brusquement il a triplé son débit … et a quitté son lit, s’est rué sur les terres cultivables… Aux dépens bien entendu des fermiers La RN 525 impraticable …les ponts et chaussées, débordé qu’ils sont par les évènements ne sont pas encore sur les lieux… Les dégâts seront inestimables…» Maurice RINALDI. (Dauphiné libéré):

En 1955 Le 20 janvier. Alors qu’avec le beau temps revenu sur toute la froide journée de mercredi, tout semblait un peu partout rentrer lentement dans l’ordre. ………………… » Les autorités du chef-lieu d’arrondissement : sous-préfecture, gendarmerie, centre de secours des sapeurs-pompiers, étaient alertées d’urgence ce matin par le maire de Notre Dame des Millières commune située à une dizaine de kilomètres d’Albertville, sur la rive gauche de l’Isère. Aussitôt, le capitaine Garzon commandant le centre de secours d’Albertville et le maréchal- des-logis de gendarmerie Plazy, commandant la brigade de Grésy-sur-Isère, s’acheminaient sur les lieux bientôt suivis par M. Etoubleau .Tout comme au hameau du Cret. Notre Dame des Millières avait été parmi les localités qui avaient ces derniers jours, les alarmants honneurs du communiqué.

Lundi à 20h. Le ruisseau de La Combaz, qui descend de la Thuile et traverse le village en son milieu, était sorti de son lit et, charriant blocs de rocher et masse de boue était allé couper la route nationale et s’épandre dans un champ. Il avait, sur son passage, mis en péril plusieurs maisons, dont notamment celles de MM Maxime Velat, Camille Tresallet, Joseph Gonessat et le moulin Durieux.

Dès le jour venu, tandis que la plupart des habitants se mettaient à l’ouvrage pour essayer de canaliser le torrent et de protéger contre d’autres crues possibles les immeubles en danger, d’autres remontaient le cours tumultueux du ruisseau pour essayer de détecter, l’endroit d’où était partie la coulée.

C’est à une demi-heure de marche, à 500 mètres d’altitude environ, dans la forêt, qu’ils eurent l’explication du redoutable phénomène.

Disons tout de suite que ce dernier est à l’image exacte de celui qui s’est produit au hameau du Cray, à le bois, et qui fit l’objet dans ces colonnes d’un précédent reportage. Le processus est absolument identique et le ruisseau de La Combaz a rigoureusement copié le « Nant noir ».

A 500 mètres d’altitude, au-dessus de Notre dame des Millières, est tout un pan de montagne ou plus exactement de forêt, qui corrodé, miné, désagrégé par les eaux, s’est lentement mis en mouvement, lâchant par intermittence dans le torrent des masses de rocher et de terre. des barrages ainsi s’établissent, provoquant la formation de poches d’eau qui, lorsqu’elles crèvent, entraînent rocs, arbres et limon dans une furieuse ruée vers la plaine . Et cela sporadiquement se produit depuis lundi.

Mais aujourd’hui la situation loin de s’améliorer comme on pouvait l’espérer, devait brusquement empirer. » Dauphiné Libéré

C’est plus exactement hier soir mercredi à 22h30, que devait se produire une nouvelle crue qui, après un relatif apaisement, sema à nouveau la panique dans le village.

Les piquets de surveillance échelonnés tout au long du cours du torrent venaient à coups de clairon répétés de donner l’alarme.

Aussitôt ce fut dans la nuit un « sauve qui peut » général, une ruée hors des maisons et une fuite désordonnée loin du dangereux secteur de toute une population affolée.

Mais cette fois encore heureusement, aucun habitant ne fut touché dans sa personne ou dans ses biens.

Alors ce matin, tout comme on l’avait fait les jours précédents on remonta vers la montagne chancelante pour faire le point. On devait s’y trouver saisi par une mortelle inquiétude. Sur 400mètres de long et 150 mètres de large, est dieu sait qu’elle profondeur, la montagne, fissurée craquelée, était en marche. On voyait s’ouvrir des crevasses, on entendait craquer les sapins.

Contre cela, absolument rien à faire. Qui, si la montagne doit descendre, pourrait bien l’empêcher ? S’étant vite rendu à cette cruelle évidence, on entreprit de faire les seules choses raisonnables : renforcer les piquets d’alerte, consolider le barrage établi devant les maisons menacées et évacuer les enfants et les vieillards, prévenir les autorités.

Et pour le reste, Dieu va !

Telle est la situation ce soir, qui pose, sous un ciel gris et à nouveau gonflé de pluie, un point d’interrogation angoissant.

Suite a ces évènements le lit de la rivière a été curé et une première plage de dépôt a été réalisée entre 1882 et 1985

D’autres dates à retenir 26 et 27 juillet 1961,8 juillet 1981, et juillet 1993 Dans le village, les berges de la Combaz ont été consolidées régulièrement (1983-84 puis 1992-93) et une digue en béton armé a été érigé en 1983-84 sur les deux rives .( DICRIM)

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Le lit de la rivière a été curé et une première plage de dépôt a été réalisée en 1882 et 1985

« 26 et 27 juillet 1961,8 juillet 1981, et juillet 1993 Dans le village, les berges de la Combaz ont été consolidées régulièrement (1983-84 puis 1992-93) et une digue en béton armé a été érigé en 1983-84 sur les deux rives » ( DICRIM)

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1981 Suite a un orage d’altitude, une énorme quantité de matériaux divers ont dévalés la pente des maisons et de terrains cultivés en contre bas ont soufferts de cette crue brutale, trois ponts ont été emportés. 1982 curage du torrent pour un coût de 109250 francs. En 1983 la mairie avec le concours de l’ONF, commence la construction de digues sur le lit d’écoulement. (BRGM)

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Suite a ces évènements le lit de la rivière a été curé et une première plage de dépôt a été réalisée entre 1882 et 1985 (DL)

D’autres dates à retenir 26 et 27 juillet 1961,8 juillet 1981, et juillet 1993 Dans le village, les berges de la Combaz ont été consolidées régulièrement (1983-84 puis 1992-93) et une digue en béton armé a été érigé en 1983-84 sur les deux rives. ( DICRIM

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01/05/2015 crue de la Combaz dégâts sur la départementale mais aussi à la fromagerie. La boue, les branchages et des blocs de pierres ont obstrués le pont .

L’Isère a aussi débordé à Tournon

Ruisseau le Rotey

  • 1969 le conseil municipal sous la présidence M. le maire Gabriel DEGLISE a décidé le curage du ruisseau et demande le concours de la DDA

  • 1975,1977 curage de la rivière qui inonde a chaque crue les terres bordant son lit (mairie)

  • 2007 Demande de la préfecture de la Savoie d’effectuer le curage des dépôts vaseux du Rotey.

Rivière des Sablons

En 1910 le 2 juin Après des pluies torrentielles qui ont durées deux jours le torrent des Sablons a charrié une énorme quantité de débris qui ont obstrués le pont, qui se sont déversé sur les propriétés et la route départementale. Celle-ci a été coupée.

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Ponceau des Sablons, à Notre-Dame-des-Millières.
« Dans un rapport en date du 31 juillet dernier, M. l'ingénieur ordinaire de l'arrondissement d'Albertville fait connaître qu'entre les bornes kilométriques 8 et 9, la route départementale n° 9 con- tourne le cône de déjection du ruisseau des Sablons, descendant des montagnes qui dominent Notre-Dame-des-Millières. La nouvelle route avait été établie sur ce point en remblai de 2 à 3 mètres de hauteur, et son talus de droite, tourné vers le ruisseau, fut solidement empierrée sur une longueur de 300 mètres.
« Deux aqueducs de lm 20 et 30 centimètres d'ouverture devaient donner passage aux eaux des Sablons. Mais ce torrent, qui traverse des versants ravinés, en détache des matières de toute espèce qu'il vient déposer près du hameau de Notre-Dame- des-Millières, et ces apports ont exhaussé le terrain de manière à le faire affleurer en plusieurs points à l'accotement de la route. Il en résulte pendant les crues un danger réel pour la route et pour les propriétés riveraines. « Ces amoncellements sont dus en grande partie au débouché insuffisant du premier aqueduc, vers lequel se dirige souvent le principal volume des eaux. « Il propose de reconstruire complètement cet ouvrage en doublant son débouché.
« La dépense est évaluée à 1,150 francs. 19 août 1
880 (Rapport du conseil général de Savoie)

Rivière des Chevrot

1879 22 juin Tournon Après lecture d’une délibération du syndicat du nant des Chevrots, le conseil « pour montrer ses dispositions conciliantes, consent à faire à ses frais une passerelle à condition que la commune des Millières fournira tout le bois, il consent aussi à ce que le gravier posé sur le terrain de Tournon soit étendu pour faire un chemin commun… que le chemin ne sera pas plus large que celui qui existait… Le conseil maintient qu’il a accordé l’établissement du canal qu’à la condition expresse que des vannes seraient établies partout où le besoin en serait reconnu car douze lots de ses communaux représentent… 800 francs et seraient privés d’eau». (68v DS00125)

1889 19 mai - Prétention des habitants de Notre Dame des Millieres pour revendiquer les communaux de Tournon: M. le maire de Tournon donne lecture d’une pétition et d’une délibération en date du 21 avril 1889 par lesquels « Notre Dame des Millières demande à ester en justice contre la commune de Tournon pour revendiquer ses communaux. Le conseil ,considérant que depuis un temps immémorial la commune de Tournon possède et jouit de ses communaux qui figurent sur les mappes de Tournon et sont inscrits sur les plus vieux cadastres… déclare qu’il n’a pas d’appréciation à donner sur les prétentions… des habitants et des conseillers de Notre Dame des Millières». (42-21V DSC04556)

1900 Création du syndicat du ‘Nant du Chevrot’ (Archives de Savoie côte 7M214).

D’autres dates à retenir

En 1927 La commune s'organisa en syndicat pour le curage des torrents

Le syndicat du nant des Chevrots sera dirigé par M.COLLOMBIER.

Le syndicat de l'Hermettaz et des Culets sera dirigé par M.SIMON.

Le syndicat de Combe Vielle et de l'Hermettaz sera dirigé par M.CHEVRIER.

Le syndicat de la Combaz et du Rotey sera dirigé par M.METRAUX.

2002 On envisage le curage de la plage de dépôt par le syndicat des cours d’eau.

« Nous avons trois ruisseaux principaux … Or, trop souvent, ces ruisseaux servent de dépotoirs ou d’égouts». (Louis MILLE Bulletin municipal)

2003 le 19 mai Un arrêté préfectoral propose l’établissement d’un plan de prévention du risque d’inondation pour les ruisseaux. Le PIZ (plan d’Indexation en Zone) fut réalisé en 2004 Il peut prescrire la mise en œuvre de mesures de protection individuelles ou collectives adaptées.

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L’Isère

  • 1735 14 août - Une partie du village est envahie par les eaux de l’Isère en crue. Les villageois perdent des terres cultivables. Un bac permettait depuis le Moyen Age de traverser l’Isère au lieu-dit "Le Port".

  • Le 19 octobre1771, l‘ Isère avait grossit et avait inondé, après avoir envahi les terres incultes l'eau s'infiltra sur une grande partie des terrains cultivable, les habitants de Notre Dame furent conviés aux travaux concernant l'ouverture d'un canal destiné a faire entrer les eaux de l'Isère dans son ancien lit sous la montagne de Rhonne et par dessous la partie existante du pont dit de la chaîne (ADS E 1248 -DD.3)

  • 1735 l’Isère déborde

  • 1780 Le 19 février Les habitants sont convoqués pour la réfection des digues sur l’Isère au niveau de Grignon

  • 1845 Notre Dame fait partie du consortium pour l'entretien des digues de l'Arc et de l'Isère ( Manifeste N° 1023).

  • 1880 - Construction d’un aqueduc pour canaliser l’eau et en 1922 : construction d’un pont

  • 1834 - A la fin des travaux d’endiguement de l’Isère et après le dessèchement des marais insalubre on constate l’apparition de nouvelles cultures en particulier le maïs, le chanvre et le tabac.

  • 1834 - Plan et limite de la digue protégeant Notre-Dame-des-Millières exécuté par M.Pralo. (ADS 1Fi 602)

  • 2003 19 mai Arrêté préfectorale concernant la prescription du plan de prévention des risques d’inondation de l’Isère

la direction départementale de la protection civile déclare que Notre Dame des Millieres fait partie des communes concernant des risques potentiels en particuliers concernant les inondation de l'Isère a cause des lâchages des eaux des barrages éventuels ou encore plus improbable la destruction simultanée de ceux-ci pourrait surprendre notre village et l'engloutir

Fait à Notre dame Des Millières le 02/05/2015 Abbatucci Charles

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